“Ma première année en enseignement n’est pas facile. Il y a énormément de choses à mettre en place, l’expérience à prendre pour une multitude de situations, des événements auxquels je n’avais jamais été confronté, etc. Multipliant les nuits trop courtes, les cours de perfectionnement à l’université et les journées éreintantes (tant au travail qu’au retour à la maison avec la marmaille), je m’approchais de plus en plus de l’épuisement professionnel.”